Une vision différente de l'analyse financière

Depuis 2018, on décortique les secteurs industriels avec un regard qui va au-delà des chiffres bruts. Parce que comprendre une entreprise, c'est d'abord comprendre son écosystème.

7 ans d'expertise en analyses sectorielles
340+ rapports financiers publiés
23 secteurs industriels couverts

Comment tout a commencé

En 2018, Léonard Bourgeois travaillait dans une grande banque d'investissement. Il passait ses journées à produire des analyses standardisées qui passaient à côté de l'essentiel. Les modèles financiers étaient impeccables, mais ils ne racontaient pas l'histoire réelle des entreprises.

Un déclic est venu d'un projet sur l'industrie automobile. Les chiffres montraient une entreprise en bonne santé. Mais en creusant les dynamiques sectorielles – les tensions dans la chaîne d'approvisionnement, les changements réglementaires européens, les investissements technologiques des concurrents – une toute autre réalité émergeait.

C'est là qu'est née l'idée : créer des analyses qui replacent chaque entreprise dans son contexte sectoriel complet. Pas juste des ratios financiers, mais une compréhension profonde des forces en présence.

trenvikaloq est né de cette conviction : une bonne analyse financière doit d'abord être une bonne analyse industrielle.

Analyse financière approfondie des secteurs industriels

Notre approche en trois piliers

On ne croit pas aux raccourcis. L'analyse sectorielle demande du temps et une méthode rigoureuse.

Cartographie complète

On commence toujours par dresser une carte exhaustive du secteur. Qui sont les acteurs majeurs ? Quelles sont les barrières à l'entrée ? Où se situent les marges ? Cette étape peut prendre plusieurs semaines.

Analyse des forces

Ensuite vient le travail de fond : identifier les dynamiques qui façonnent réellement le secteur. Rapports de force entre fournisseurs et clients, pressions réglementaires, innovations technologiques qui redessinent les frontières.

Synthèse actionnable

Nos rapports ne sont pas des encyclopédies. On distille l'information pour en extraire ce qui compte vraiment pour vos décisions d'investissement ou stratégiques. Des insights clairs, pas du volume.

Une équipe qui connaît le terrain

On n'est pas des analystes qui compilent des données derrière un écran. Chaque membre de l'équipe a passé des années sur le terrain, dans l'industrie ou en conseil stratégique.

Éléa Moreau a travaillé dix ans dans la supply chain de l'aéronautique avant de nous rejoindre. Quand elle analyse ce secteur, elle sait exactement comment une usine fonctionne, où se trouvent les goulots d'étranglement, pourquoi un délai de livraison peut tout chambouler.

Raphaël Chen vient du secteur de l'énergie. Il a vécu de l'intérieur les transformations liées à la transition énergétique. Ses analyses du secteur sont nourries de cette expérience concrète.

Cette connaissance pratique change tout. On ne se contente pas de lire des rapports annuels et des communiqués de presse. On sait poser les bonnes questions et identifier ce qui se cache derrière les chiffres officiels.

Découvrir toute l'équipe
Membre de l'équipe d'analyse financière

Éléa Moreau

Analyste sectorielle senior

Expert en analyse industrielle

Raphaël Chen

Spécialiste énergie

Ce qui guide notre travail

Des principes qu'on ne négocie pas, même quand la pression monte.

Méthodologie d'analyse financière rigoureuse

Indépendance totale

On refuse systématiquement toute forme de partenariat ou de financement qui pourrait influencer nos analyses. Aucun acteur sectoriel ne paie pour figurer dans nos rapports ou pour orienter nos conclusions. Cette ligne rouge n'est pas négociable.

Rigueur méthodologique

Chaque rapport suit un processus de vérification strict. Les données sont croisées avec plusieurs sources, les hypothèses sont documentées et challengées. On préfère retarder une publication plutôt que de livrer un travail approximatif.

Transparence des limites

On n'a pas réponse à tout. Quand les données manquent ou que plusieurs interprétations sont possibles, on le dit clairement. Les zones d'incertitude font partie de l'analyse, les masquer serait malhonnête.